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Se préparer à devenir prêtre 

Que faire si tu ressens le désir de donner ta vie pour le Christ et l'Eglise en devenant prêtre ? 
D'abord, prier, suivre des retraites et des week-end sur le thème de la vocation. Puis, laisser mûrir les choses: le temps éprouve et purifie le désir. Ensuite, avoir un bon accompagnateur qui puisse te guider et te conseiller.
 Quand tu te sentiras prêt et que l'Esprit-Saint te le montreras, si tu habites dans le diocèse de Malines-Bruxelles, contacte directement le Séminaire Notre Dame d'Espérance à Limelette (près d'Ottignies) : avenue Albert 1er 8, 1342 Limelette. 010/ 41 34 81 - demander l'abbé Desquesnes ou l'abbé Bonnewijn.

Deux sites importants:

Séminaire St Paul: http://www.catho.be/ftp/seminaires/SaintPaul 
Centre national des vocations: http://www.vocations.be
Deux seules choses sont demandées: avoir 18 ans au minimum et avoir un diplôme d'enseignement secondaire (général, technique ou professionnel).

Devenir prêtre ne concerne pas que l'intéressé, c'est-à-dire celui qui se prépare à devenir prêtre ou qui l'est devenu par les mains de l'évêque. Que du contraire, la vocation à la prêtrise concerne l'ensemble du Peuple de Dieu et ce de multiples manières : prières pour les vocations, attentions et soutiens apportés aux prêtres, prière pour les prêtres, soutiens financiers,... et surtout, surtout, don d'enfants à l'Eglise.

Dans Menti nostrae (1950), Pie XII demandait à tous les parents chrétiens de prier Dieu pour qu'au moins un de leurs fils devienne prêtre. Dans le même document, il est proposé aux prêtres -  et par conséquent à tous - "aussi bien en catéchisme que dans les conversations privées de dissiper les préjugés, les opinions fausses, si répandus actuellement contre l'état sacerdotal; qu'ils en montrent la haute dignité, la beauté, l'utilité et le grand mérite."  Cinquante ans après, alors que le sacerdoce est socialement déconsidéré, ces demandes restent plus que jamais brûlante d'actualité.

"Aucune communauté chrétienne ne se réunit en son nom propre. Elle est rassemblée par le Christ Ressuscité lui-même. Au sein de chaque communauté, le prêtre en est le signe lorsqu'il préside aux sacrements, en particulier l'eucharistie où l'Eglise advient à elle-même, lorsqu'il annonce la Parole et veille à ce qu'elle soit annoncée, lorsqu'il préside à la charité pour que le projet de Dieu pour le monde soit visible." (texte tiré du site du Vicariat de Bruxelles)

Les prêtres sont disponibles pour le sacrement de réconciliation pendant les temps d’adoration après les eucharisties de semaine ou en les contactant pour fixer une rencontre à un autre moment (cf. menu "Contacts) .  

Venez (re)découvrir le sacrement où la joie de vivre et la joie de connaître Jésus se font sentir profondément...
Le saviez-vous? Dans le catéchisme, le sacrement de la réconciliation est mis (avec l'onction des malades) sous le titre: "Les sacrements de guérison".   Des milliers de personnes pourraient témoigner que la confession de leurs actes mauvais et l'absolution du prêtre a été un moment libérateur dans leur vie, un moment de guérison intense, à partir duquel il n'ont plus jamais fait marche arrière.  L'absolution est un don de Dieu, un don où les liens avec le mal sont rompus.

 Il ne faut pas toujours se confesser. Ce sacrement a été institué pour les actes les plus graves, qui rompent la communion avec Dieu et l'Eglise.  "Tout acte sincère de culte ou de piété ravive en nous l’esprit de conversion et de pénitence et contribue au pardon de nos péchés" (Catéchisme, n°1437).
Le pardon de Dieu est toujours possible si nous faisons une démarche vraiment sincère, en demandant à Dieu de pouvoir vaincre nos peurs et nos hontes face à ce sacrement. En se reconnaissant pécheur, nous croyons que l'Amour infini de Dieu sera toujours le plus fort.

 " Ceux qui s’approchent du sacrement de pénitence y reçoivent de la miséricorde de Dieu le pardon de l’offense qu’ils Lui ont faite et du même coup sont réconciliés avec l’Église que leur péché a blessée et qui, par la charité, l’exemple, les prières, travaille à leur conversion " (Vatican II).

Le dialogue avec un prêtre est le signe efficace de la réconciliation avec Dieu et avec nos frères. Le pardon de Dieu est exprimé par le prêtre, qui agit au Nom de Jésus-Christ. On se confesse habituellement au moins une fois par mois, ou au besoin. 

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Lectures du jour

  • Première lecture : « Il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres » (1 Co 15, 1-8)
  • Psaume (Ps 18 (19), 2-3, 4-5ab)
  • Évangile : « Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne me connais pas ! » (Jn 14, 6-14)

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